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Résumé :

Japon. 2034. Des terroristes surnommés « Les onze individuels » prennent les employés de l’ambassade de Chine en otage pour réclamer la fermeture des quartiers des réfugiés chinois. Le premier ministre refusant que l’affaire s’ébruite, la Section 9 est appelée pour intervenir. D’autres actes terroristes sont commis sous ce nom énigmatique. Mais il semble bien que c’est un nouveau « Stand Alone Complex » auquel Motoko et son équipe ont à faire, c'est-à-dire un phénomène faisant que des individus qui ne se connaissent pas œuvrent dans un but commun. L’équipe est à son (cyber) corps défendant chaperonnée par Kazundo Gôda, un homme d’influence dont le visage à moitié défigurée inspire la terreur. Quelles sont les réelles motivations de cet énigmatique individu qui sous couvert de solutionner une situation de crise semble la tirer volontairement vers le chaos général ?

Chronique :

Si certains arrive à considérer cette saison comme une simple série TV, alors je voudaris qu'elles soient toutes du même accabit, tant la qualité de l'animation et du character design est de très grande tenue. Toutefois, il est moins simple de s'enthousiasmer pour cela, car l'histoire par rapport au deux autres films n'arrive pas à atteindre un niveau de complexité dans l'histoire. On s'y perd facilement et parfois avec du mal à rentrer complètement dans l'action. Biensûr, le niveau de thriller d'anticipation et les nombreuses scènes d'actions sont là pour faire oublier le scènario.

Pour cette édition collector [ Beez ayant sortit une version simple dans une boite plastique classique ] l'éditeur propose une édition soigné tant au niveau visuel que du packaking en lui-même. On retrouve donc deux DVD [ un pour le film et un autre pour la partie bonus ] insérér dans un digipack à volet, avec un petit livret fort bien illustré, qui lui-même [ le digipack !!! ] s'insère dans un fourreau assez rigide.

Avec un scènario en dents de scie, mais doté d'un pannel exceptionnel en matière d'animation, cet autre épisode des "Ghost In The Shell" présenté ce mois-ci, vaut largement qu'on s'y penche, qu'on le regarde à sa juste valeur tout en découvrat un univers complexe et dérangeant. Il va s'en dire que Beez à une fois de plus fait dans les gros moyens !!! A découvrir.

Bonus :

La vie des Tachikoma ( court métrage inédit )
Interviews
Bandes annonces Beez