Chronique
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Avec ce quatrième opus, Lim Dall Young fait monter la température et nous donne vraiment envie d’être mangaka ou tout simplement à la place de Kôta qui se voit offrir une journée de congé avec sa rédactrice en chef Hinata et de son assistante à la plage.
De suite, on comprend que l’histoire passe en mode « pause » pour nous régaler avant tout du travail de Lee Hae Won et sa maîtrise de la plastique féminine…. Alors quand en plus on fait passer quelques litres d’alcool pour animer une soirée, il est évident que les choses vont déraper ( nous on adore… ).
Mais pour en revenir à la source même de ce manga, le scénariste n’oublie pas le fond commercial de son œuvre en opposant toujours le petit mangaka dans son atelier aux puissants studios sans âmes vers le dernier chapitre… Ce qui permet d’en savoir toujours un plus sur l’industrie du manga.
Assez reposant au final, sexy à souhait et instructif dans sa forme, ce quatrième opus est toujours aussi bien construit narrativement que les précédents tomes et nous donne déjà envie de lire la suite… Vous savez ce qu’il vous reste à faire.
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