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Résumé :

Fin du XIXe siècle, Paris. Théodorus Van Gogh est un célèbre vendeur d’art chez Goupil & Cie. Ses clients : des grands bourgeois, conservateurs, en quête de signature prestigieuses et valorisantes, persuadés que l’Art n’est accessible qu’à un échelon supérieur de la société, en excluant d’emblée la plèbe ignorante. Mais Théo recherche et développe de nouveaux talents, manieurs de techniques révolutionnaires. Souhaitant détruire le système de l’intérieur, il se sert de sa position pour mettre en avant des artistes peu académiques... dont son propre frère, Vincent ...

Chronique :

Petit one-shot au parti pris de liberté, Hozumi se permet quelques incartades à l’histoire de l’Art pour écrire la sienne tout en essayant de coller au plus près de la réalité de l’époque.

Par contre, le focus de ce one-shot est posé sur le frère de Vincent Van Gogh qui tient une galerie et aimerait aidé des artistes peintres à valoriser leur travail. Ce qui permet de faire évoluer d’autres grands noms de la peinture tout en donnant une dimension culturelle à cette histoire.

Il y a des passages où l’on apprend plein de choses sur des œuvres connues et d’autres axés sur les dialogues qui cassent à la longue l’énergie de ce titre.

Pour les dessins, par contre, on touche là l’excellence avec un trait fin et détaillé… et je ne vous parle même pas des reproductions de tableaux… à découvrir.